Et voila, c'est la fin ^^ je vous remercie pour tou vos commentaires ^^ ça m'a toucher, je vous promet de vite finir celle sur Naruto (j'aime pas poster les fic que je fini pas ^^ ) Enfin, voila la dernière partie ^^
************
۞۞
Trois mois avait passé depuis son anniversaire. C’était les vacances d’été, comme projet, Hiroshi et Sariel avaient prévu de rester chez eux et de partir en Belgique, chez Sonia, l’avant dernière semaine d’août. Gaap avait grandit, il arrivait maintenant a mi-mollet mais il ne grandirait pas beaucoup plus, jusqu’aux genoux tout au plus. Sariel lui avait acheté une petite balle et s’amusait à la lui lancer. C’était un chien très intelligent et obéissant, bien que son jeune âge lui donnait beaucoup de fougue et d’espièglerie.
Comme il fallait s’y attendre, Sariel avait passé ses examens avec brio, pas une seul faute et il était aussi celui qui avait rendu le plus rapidement ses copies, moins d’une heure pour chacune. Le dernier jour, cinq filles s’étaient déclarées à lui, sur le coup, il n’avait pas su quoi répondre mais il finit par leur dire qu’il avait déjà quelqu’un et que son cœur et sa raison lui interdisait de trahir cette personne avec quelqu’un qui ne représentait rien d’autre qu’une camarade de classe à ses yeux. Trois d’entre elles étaient repartie en pleure, les autres, elles, étaient rentrées dans une colère noire en apprenant qu’elles ne comptaient pas plus que ça dans le cœur de Sariel.
Hiroshi, lui, avait encore eu droit à une déclaration ardente de la part de Mlle Ueda. L’ayant repoussé froidement, elle piqua littéralement une crise de nerf et envoya sur le sol tous les dossiers qui se trouvaient sur le bureau à coté d’elle, ça lui valu, malheureusement pour elle et heureusement pour le petit couple, d’être renvoyée sans préavis par le directeur qui avait assisté à toute la scène.
Le mois de juillet c’était plus ou moins bien passé, plus ou moins parce que le Japonais avait été prévenu de la mort de son père, overdose paraissait-il… à cette nouvelle le jeune professeur c’était contenté de sourire sarcastiquement en murmurant un ‘tant mieux pour lui’. Ils avaient tous deux passé quelque journée avec le gang dont Hiroshi était le ‘Boos’, Sariel c’était vite rendu compte que la plupart d’entre eux étaient de brave gars, ils n’avaient tout simplement pas eu de chance. Plusieurs d’entre eux c’étaient même prit d’un véritable amour pour le petit Gaap, ça faisait beaucoup rire les deux amants de voir des mecs aussi baraqués et tatoués qu’eux s’émouvoir devant un si petit chien.
Puis vint le mois d’août et les grandes chaleurs, le mois de juillet était monté jusqu’à 27°C mais août, lui, montait jusqu’à 37°C, les glaciers étaient bondés de monde, l’état avait ordonné d’user le moins possible d’eau en raison de la sécheresse qui s’annonçait, de ce fait personne ne pouvait laver sa voiture ou remplire sa piscine, c’est pour cela que les piscines publiques étaient remplies de monde et par désespoir, les moins riches ou les plus en retard pouvaient disposer de la plage.
Hiroshi et Sariel avaient, eux, décidé de rester chez eux ; Certes ils avaient chaud mais le ventilateur que le Japonais avait acheté apportait de la fraîcheur dans le petit appartement.
Le jeune professeur était en train d’observé son jeune amant, enfin s’il pouvait encore l’appeler comme ça, ça faisait quatre long mois qu’il ne lui avait plus fait l’amour mais qu’importe, il l’aimait. Donc, il regardait son petit-ami qui, tout en lisant un livre, dégustait une crème glacée. Passionné par sa lecture, le jeune garçon en oublia de manger sa glace qui fondit et coula le long de sa main. Hiroshi qui n’en avait pas perdu une miette, s’approcha de son ange – comme il l’aimait l’appeler – lui prit la main et commença à lécher le délicieux liquide sucré qui la recouvrait. Le contact de la langue du brun contre sa peau arracha un frisson à Sariel qui laissa échapper un léger gémissement.
- Hiroshi…
Il ne put aller plus loin car deux lèvres chaude et humide si collèrent au siennes, il se laissa donc aller au langoureux baiser que lui offrait son petit-ami. Leurs langues dansaient, jouaient, se bagarraient ensemble sans jamais vouloir s’arrêter.
C’est la passion et le désir qui les submergea alors qu’ils commençaient à manquer d’air. Ils se séparèrent à bout de souffle mais bien vite, leurs lèvres, avides, se retrouvèrent. Les mains de l’aîné s’égarèrent sous le t-shirt du plus jeune, titillant de temps a autre ses tétons durcis par le plaisir.
- Hi… Hiroshi, sourira Sariel entre deux baisers.
Le Japonais souleva l’adolescent qui laissa tomber son livre et sa glace – qu’il avait réussi à garder jusque là – au sol. Gaap accouru pour se régaler du cadeau qu’on lui offrait si gracieusement. Le jeune professeur déposa son petit-ami sur le lit et lui enleva son t-shirt entre ses baisers.
- Sariel, je t’aime… soupira Hiroshi, cessant toute activité.
Pour toute réponse, il reçut un râle de frustration. Le Japonais sourit et embrassa un des petits boutons de chair rose sur son torse, faisant ainsi gémir son propriétaire. Hiroshi laissa une traînée de petit suçons partant du torse de son petit-ami jusqu’à la limite de son pantalon. Gêner par cette barrière de tissus, le Japonais enleva doucement le reste des vêtements du jeune belge ainsi que les siens. Lentement il s’allongea sur le corps svelte et imberbe de Sariel.
Le jeune professeur présenta ses doigts au jeune garçon, qui les mit en bouche. Le jeune homme fini par les retirer, les jugeant assez lubrifié.
Avec une très grande douceur, il fit pénétrer un premier doigt dans la douce intimité de son amant, celui-ci gémit de douleur face à cette intrusion. Alors, Hiroshi, pour faire passer sa douleur, prit en main son membre dressé et lui infligea un lent mouvement de va et vient. Puis, très doucement, il enfonça un deuxième doigt et quand la douleur causée par ce dernier disparu, c’est un troisième doigt qui pénétra Sariel qui se cambra sous la douleur. Quand celle-ci s’envola, le jeune garçon se mit à bouger de lui-même autour des doigts de son amant. Le Japonais retira ses doigts, ce qui lui valu un autre râle de frustration.
Doucement, il se positionna devant l’intimité de son amant et en força délicatement l’étroit passage. L’adolescent se crispa violemment et versa quelque larme. Hiroshi cessa de bouger et accéléra ses mouvements sur la verge douloureusement tendue du jeune garçon.
Quelques minutes plus tard, la douleur disparu. Le jeune professeur engagea alors un lent mouvement de va-et-vient entre les cuisses fermes de son amant.
Leur respiration devinrent irrégulières, les coups de boutoir que donnait le brun accéléraient simultanément que les allées et venues sur le membre gonflé du jeune belge.
C’est à bout de souffle et dans un cri unique qu’ils se libérèrent. Le jeune homme s’effondra, épuisé, à coté de son ange et lui sourit tendrement. Quatre mois, ça faisait quatre mois qu’ils ne s’étaient plus uni… Il était heureux.. mais lui ?
- Sariel… mon ange…
- Je t’aime, le coupa le jeune garçon en souriant.
Ce sourire rassura complètement Hiroshi qui le serra dans ses bras
- Je t’aime, Sariel…
- Moi aussi…
- Plus rien ne pourra nous empêcher de nous aimer, je te le promets, je te protégerais pour la vie, murmura-t-il avant de s’endormir ainsi que son amant, pour la vie…
FIN
Accueil 
