c'est encore la petite Taka qui revient avec ses fics!! Bien que le cadre de la fic reste inchangé ( c'est ecore une fic de Gravitation...), le contexte change et oui, bientôt c'est la saint valentin et je vous ai concoté une fic bien bien hot!!
(non quand même pas... ) enfin bon. je sens qu'à la fin de ce post vous allez me tuer... enfin vous verrez pourquoi.... cela dit cette fic est à moitié original car elle est une sorte de site à mes fics précédente bon ben voila une fiche de présentation est nécessaire pour comprendre qui ets qui.
Personnages:
tous les personnages de gravitation apparaissent dans ma fic.
des eprsonnages que j'ai mis dans mes précédentes fics sont utilisées et je vous donne leurs descriptions.( ce qui est entre paranthèses c'est leur noms d'artistes^^)
- taka ( taka): ex-chanteuse de Weiss et ancienne copine de Yuki.
- Eiri Yuki ( Anami Hitari ) : si.. si le sosie de Shuichi!! avec son surnom Punpun!! vous ne l'avez pas oublié quand même?
- Ayaka Yuki ( Ayaka Yuki) : sa femme...
- Kirikazé Yuki: leur enfant....
- Seki Yuki ( Yuki Anami ) : nouveau perso qui vient d'arriver
devinez à qui il ressemble
bon ben un petit résumé avant de commencer la fic.
Tokyo - Sous la demande de Tohma, Taka, l'ex-copine de Yuki, est venue au Japon pour faire rappeler à Shuichi, chanteur des bad Luck, la véritable nature d'un artiste. sa tâche accomplie, c'est au tour d'Eiri Yuki, son correspondant qui vient leur rendre une petite visite. Après de nombreux événements tragiques, eiri était obligé de prendre la place de Shuichi, devenu entre temps annami Hitari, pour redonner de la dorure à la NG. sa femme Ayka, l'a aidé dans la tâche.e t près maintes évéments, tout le monde retrouve sa place. Pourtant, Eir va laisser derrière lui, son enfant, kirikaze qui vit maintenant chez Shuichi et Yuki. l'histoire commence quelques mois après...c'est pas très bien résumé mais bon... faut lire mes fics précédentes
bonne lecture.
~DREAMS OF LOVE ~
PROLOGUE A l’aéroport de Tokyo, l’avion en provenance de Paris atterrissait. Nous sommes au début de mois de décembre. Il faisait un peu frais par rapport aux températures habituelles. Parmi la foule qui descendait de cet avion, il y avait des hommes d’affaires, des tourismes, des japonais venant rendre visite à leur famille mais aussi un jeune homme au style assez différent. Même les gens peu cultivés reconnaissaient ce style de vêtement. Il portait une chemise blanche accompagnée d’un gilet bleu marin assorti d’un foulard rouge noué autour de son cou. Sa tête à la chevelure blonde comparable aux blés, était coiffée d’un béret de couleur bleu. Il portait aussi des lunettes noires pour cacher une partie de son visage aux personnes qui l’entouraient. L’allure française de cet homme ne le laissait pas indifférent aux jeunes filles : elles se demandaient dans leurs têtes qui était ce garçon. Après avoir récupéré ces bagages, le jeune homme en question marchait jusqu’à ce qu’il voit trois personnes dont l’une était adossé contre un des piliers de l’aéroport. Ils se regardaient dans les yeux malgré la noirceur des verres. Parmi ces trois personnes, il y avait deux filles aux cheveux longs et un garçon qui avait une douce couleur des champs de blé. Il portait une tenue assez simple sans pour autant être extravagant avec une chaîne pendant au niveau de la ceinture de son pantalon et de son gilet de serveur. La fille qui se trouvait près de lui faisait très fille sage avec sa tenue. Ses cheveux étaient raides et son visage était d’un teint semblable à celui des poupées japonais. Quant à la dernière avec ses cheveux quelque peu ondulés, semblait être plus posée et féminine que son amie. Après cinq minutes de silence, le jeune arrivant sautait dans les bras de la jeune fille qui se trouvait devant lui.
Garçon : Taka !!
Taka : Oh la ! Doucement !
Fille : Retiens-toi un peu ! Ce n’est pas comme en France, on ne montre pas ça au Japon !
Garçon : ah oui c’est vrai mais cela fait quand même deux ans que l’on ne s’est pas retrouvé. Tiens, tu as changé la couleur de tes cheveux, Eiri-san ?
Eiri : yep, c’est pour ne pas me faire remarquer mais dis-moi, c’est quoi cette tenue à la française ? On se fait remarquer à cause de toi…
Garçon : mais elle est jolie cette tenue ? C’est celle que je portais à l’école des arts !
Fille : en fait, ce genre de tenue l’excite …
Eiri : Comment peux-tu dire ça, Ayaka, alors que tu es ma femme ?
Garçon : au fait, tu l’as rencontré ? Celui qui as pris ton nom et que tu tuerais si tu le rencontrais ?
Ayaka : sache qu’il a vécu en sa compagnie pendant six mois sans se plaindre.
Taka : non, c’est vrai ? Ah oui, vous vous ressemblez tellement vous deux qu’il pourrait vous confondre.
Eiri : ne me parle pas de cette époque s’il te plait !
Garçon : je ne comprends pas vraiment pas ce que vous dites ; mais bon on dirait que vous êtes bien amusés chacun de votre coté. Moi aussi, je veux aussi rigoler avec vous !!
Ayaka : ah ah il n’a pas changé.
Eiri : toujours aussi gamin à son âge quand même…
Taka : tu auras tout le temps de t’amuser avec nous à partir de maintenant. J’ai prévu un grand jeu.
Eiri : Dommage que l’on doit faire du tort à Shuichi et aux autres.
Ayaka : tu t’inquiètes encore pour lui ? Eiri, tu n’as pas changé du tout…
Eiri : Tais-toi !!
Taka : ha ha ha….
Quelques mois plus tard, Yuki préparait ses affaires. En effet, devant l’instance de Shuichi, l’écrivain partait pour Kyoto, sa ville natale pour rendre visite à sa famille. L’écrivain avait refusé lorsque sa sœur aînée, Mika le lui a demandé mais elle a utilisé Shuichi en sa faveur pour le convaincre. Bien que Yuki n’avait aucune envie de les voir, surtout son père qui l’a rendu japonophobe, Yuki ne pouvait quasiment rien refusé de la part de son amant surtout quand il menaçait de pleurer. L’écrivain fermait sa valise et s’apprêtait à partir. Shuichi avait un pincement au cœur. Non content de voir partir Yuki, celui-ci lui avait dit qu’après la visite familiale forcée, il devait partir aux Etats-Unis pour tenir une conférence sur les révélations littéraires de l’année écoulée et cela durait près de deux semaines. Shuichi prenait conscience que près d’un mois vont les séparer. Pour montrer combien, il attend avec impatience son retour, Shuichi embrassait tendrement Yuki, ce qui rendait la séparation encore plus douloureuse. Celui-ci lâchait sa valise et l’embrassait à son tour en le prenant dans ses bras.
Shuichi : reviens vite, Yuki…
Yuki : je te rappelle que c’est toi qui as insisté pour que je parte à Kyoto.
Shuichi : mais… c’est ta famille… tu devrais aller les voir de temps en temps…
Yuki : ce n’est pas la peine d’en dire plus… je vais finir par être en retard… au revoir, Shuichi…
Yuki fermait la porte derrière lui. Le chanteur entendait ses pas s’éloigner, le bruit des pas s’étouffait avec le silence. Puis un silence. Pendant plusieurs minutes, Shuichi réalisait sa bêtise puis il entendait une voiture sortir du garage de l’immeuble. Shuichi se précipitait vers le balcon pour voir une des voitures de Yuki s’en aller et s’éloigner. Yuki regardait dans son rétroviseur son immeuble disparaître. Il lui semblait avoir aperçu la tête de son amant à son balcon mais maintenant, il était trop loin pour se rendre compte que Shuichi pleurait de tristesse. Shuichi essuyait ses larmes.
Shuichi ; je comprends… il ne part que pour un mois comme moi je pars pour faire mes tournées… mais c’est pas la même chose… ouin Yuki… il faut que je m’occupe. Mais… qu’est-ce que je peux faire ?
Près d’une heure plus tard, le téléphone sonnait. Shuichi courrait vers le combiné mais avant de parler, il essayait de paraître normal. Il avait essuyé toutes ses larmes de ses yeux et il cachait les cris de tristesse au fond de sa gorge. Mais sa voix le trahissait.
Shuichi : oui allô ?
Hiro : salut Shuichi. C’est Hiro.
Shuichi : ah… comment ça va, Hiro ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Si c’est pour mon absence d’aujourd’hui, j’ai dit à Sakano que je prenais ma journée.
Hiro : ça je le sais mais Tu ferais mieux de regarder ce qu’il se passe à la télévision. Seguchi fait une annonce officielle.
Shuichi : Quoi ?
Sous la demande de son meilleur ami, il allumait le téléviseur et tombait sur l’émission où Seguchi Tohma son président se fait interviewer pour un grand événement de la NG. 0 chaque fois que Tohma passait à la télévision, c’était pour annoncer un événement spécial de sa société : le départ d’ASK, la reformation de Nittle Grasper, le succès imminent de Bad Luck, la naissance ensuite dissoute de la NG UnYvErSaLy,… mais cette fois, il semblait être encore plus sérieux que d’habitude.
Journaliste : Vous avez parlé d’un événement unique ?
Tohma : La NG regorge d’artiste de talents et nous avons du voir partir certains avec regret, je fais par exemple référence à ASK mais qui nous a rejoint depuis peu, sous la demande de leur producteur avec qui je suis en très bon termes. Nous avons vu défiler des grands artistes qui ont décidé de quitter le monde de la musique pour mener une autre carrière ou bien se reposer avant leur nouvelle de gloire.
Journaliste : oh… alors vous allez réengager vos anciens artistes ?
Tohma : pas exactement… la NG a perdu en deux ans, trois de ses meilleurs artistes et aujourd’hui, il mènent une carrière que je leur ai souhaité… avec leur accord, nous avons décidé de monter un spectacle exceptionnel avec eux pour le mois prochain. Ils ont accepté à certaines conditions.
Journaliste : de qui parlez-vous ? Non, vous ne parlez de ce nouveau groupe qui fait fureur dans le monde de la musique et vous-même, vous n’arrivez pas à atteindre leurs ventes recors malgré votre popularité….et quelle sont leur conditions ?
Tohma : ah ah… ce sont avant tout des amis et vous adorons nous mettre en compétition. Vous ne seriez pas déçus au contraire, vous serez émerveillé par leur prestation. Ce n’est pas la peine que je vous lez présente puisque vous les connaissez.
Journaliste : Nous parlions bien du même groupe : celui composé de Taka, Ayaka Yuki, Anami Hitari et Yuki Anami ?
Tohma : exactement.
Journaliste : pensez-vous à les prendre avec vous ?
Tohma : non, puisqu’ils ont décidé d’eux-mêmes d’être indépendant de toute maison de disques.
Journaliste : vous nous avez parlé de leurs conditions. Quelles sont-elles ?
Tohma : à vrai dire, elle concerne l’un de mes artiste : Shuichi Shindo pour être précis. Ils m’ont demandé formellement de l’exclure du spectacle.
Journaliste : Quoi ? L’exclure du grand événement de la NG ? Avez-vous pensé à ces fans ?
Shuichi : ce n’est pas possible…
Tohma : Cette condition était certes quelque peu insolite venant de leur, étant donné qu’ils se connaissent mais pour ma part, je leur ai ce que je pensais de cela et j’ai approuvé leur raisonnement et je tiens à dire à ceux qui sont contre cette décision, que je suis assez peiné pour Shindo mais ils serotn meiux convaincre que moi cette décision.
Journaliste : Nous allons donc demander à Taka, le leader du groupe de nous expliquer la raison du refus du chanteur des Bad Luck dans le spectacle.
Shuichi atteignait la télévision. Hiro avait regardé avec lui cette émission. Le guitariste était inquiet pour Shuichi car jamais le président de la NG l’aurait fait. Kirikaze rentrait justement de l’école quand il voyait Shuichi pleurer dans un coin sombre de l’appartement. Le téléphone était allumé et le petit garçon pouvait entendre Hiro appeler son mai pour essayer de comprendre ce qu’il s’est passé. Kirikaze s’approche de lui. Il voyait que le sol était mouillé à se pieds : pas de doutes, Shuichi pleurait. Kirikaz n’avait pas le voir comme ça et se mettait à genoux devant lui et l’enlaçait pour partager sa peine.
Kirikaze : Papa… pourquoi est-ce que tu pleures ? (NB: c'est simplement aprce Shuichi est le sosie de son père et qu'il l'appelle souvent papa)
Shuichi : Kirikaze… ce n’est rien… tu dois avoir faim…je vais te préparer quelque chose…
Kirikaze : Tonton Tohma a été méchant avec toi ? ( NB: Il l'aurait très bien pu appeler Grand fère Tohma mais comme Tohma a déjà 31 ans, Tonton est plsu approriée)
Shuichi : comment le sais-tu ? Mais qu’est-ce qu’il t’est arrivé à tes cheveux ?
Kirikazé avait la même coupe de cheveux que son amant. Avant il avait les cheveux ébouriffés comme lui mais là, il avait plus l’air d’un adulte ou du moins d’un enfant mature que le petit garçon sage et innocent de ces derniers mois. A cause de ces cheveux blonds, Kirikazé ressemblait beaucoup à Yuki quand il était petit. Le petit garçon était gêné et demandait pardon au chanteur de Bad Luck.
Kirikaze : excuse-moi mais… je ne veux pas te voir triste, papa… c’est pour ça que j’ai dépensé mon argent de poche pour que je ressemble beaucoup à ton ami… parce que tu es toujours heureux quand tu le vois… si tu n’aimes pas, tu peux me le dire… snif..
Shuichi : Kirikaze…
Kirikaze pleurait. Encore enfant son visage pouvait ressemblait à n’importe qui et là, maintenant, il avait l’impression de retrouver Yuki en train de pleurer lorsque Taki lui a rappelé son passé. Shuichi se mettait à sa hauteur et caressait la tête du petit garçon.
Shuichi : merci… tu es si gentil… comme ton père…
Kirikaze : mais… je n’ai pas réussi à te faire sourire… j’aime quand tu souris, papa…
Shuichi : qu’est-ce que tu dirais d’aller manger une glace ? Je connais un très bon marchand pas très loin d’ici. On y va ?
Kirikaze : Vraiment ? Chouette, merci papa !
D’un coup, Shuichi retrouvait une assez bonne humeur grâce à Kirikazé. Certes l’enfant n’était pas vraiment très apprécié par Yuki mais cela rendait l’appartement plus animé et surtout plus convivial. Kirikazé enfilait son manteau de tous les jours et tirait sur la main de Shuichi pour le faire sortir au plus vite. Shuichi avait un drôle impression, depuis que Kirikazé s’est changé en petit Yuki, il était toujours de bonne humeur. Pourtant, il fallait bien le rendre à ses parents. Shuichi se mettaient à sa hauteur pour lui parler de ses parents.
Shuichi : est-ce que tu es au courant pour le nouveau groupe ?
Kirikazé : Toutes les filles de mon école en parlent…elle adorent toutes Yuki Anami… moi je préfère Ayaka et Anami…
Shuichi : est-ce que tu sais que ce sont tes parents ?
Kirikazé : Non… ce n’est pas vrai… papa n’a pas les cheveux blonds d’Anami!! Même s’ils se ressemblent, ce n’est pas mon papa !! Sniff…
Shuichi : oh… je ne voulais pas…
Si personne ne connaissait pas les vrais liens qui unit Yuki et Kirikazé, le petit garçon agissait comme celui-ci quand il avait son âge. Un rien pouvait le faire pleurer. Son caractère était plus proche du vrai Eiri que Tohma et Mika connaissaient que l’armoire à glace. Shuichi lui caressait la tête et lui faisait une bise sur son front.
Shuichi : deux glaces… c’est ce que tu auras quand tu auras fini de pleurer…
Kirikazé : pourquoi tu m’as parlé de mon papa ? Il t’a fait du mal ?
Shuichi : je n’espère pas… bon on va aller manger cette glace oui ou non ?
Kirikazé : j’en veux une à la fraise et à la vanille !! C’est ma préférée !!
Shuichi : ha ha…
à suivre